noir, c’est noir
Posté par Sébastien dans la rubrique : belles images, gazouillis, humeurs, livres vendredi févr. 18, 2011C’est moi, ou les éditeurs français sont un peu à court d’imagination, question titres, en ce moment?
À gauche, un livre que j’ai fini et dont je ne dis que du bien; à droite, un livre que j’ai peur de commencer de peur d’en dire moins de bien. (Aymeric, Emmanuel, je vous dis ça juste en passant: si vous avez envie de me contacter pour qu’on échange deux ou trois idées — sur la noirceur de la gastronomie française, le temps qu’il fait ou la cuisson des saucisses de Morteau —, n’hésitez pas, mon numéro de portable n’a pas changé. Un moment, j’ai cru que vous l’aviez perdu — oups, justement pendant que vous prépariez votre enquête…)
En même tant ce livre parle entre autre de « critique gastronomique » et de « masterchef » on ne peut pas toujours être juge et partie .Mais ce livre bien noir n’est pas forcément qu’un effet d’annonce il peut y exposer des éléments qui soient vrais alors cela peut en déranger certains.Là est le débat!
En même tant ce livre parle entre autre de « critique gastronomique » et de « masterchef » on ne peut pas toujours être juge et partie .Mais ce livre bien noir n’est pas forcément qu’un effet d’annonce il peut y exposer des éléments qui soient vrais alors cela peut en déranger certains.Là est le débat!
je suis en train de parcourir le livre et pour l’avoir vécu, le parallele masterchef/top chef est assez bien décrit
pour le reste, ce livre assez imprécis, voir assez falsificateur sur certains points a le mérite de mettre à plat de manière exhaustive tout ce que le petit monde de la gastronomie sait déjà depuis longtemp (et je ne pense d’ailleurs pas que ce livre interesse grand monde à part une petite centaine de personnes)
l’avantage ?
tout simplement que chacun va pouvoir a partir de ce matériau discuter, argumenter, contredire (très souvent), bref discuter FAC-TU-ELLE-MENT…
je suis en train de parcourir le livre et pour l’avoir vécu, le parallele masterchef/top chef est assez bien décrit
pour le reste, ce livre assez imprécis, voir assez falsificateur sur certains points a le mérite de mettre à plat de manière exhaustive tout ce que le petit monde de la gastronomie sait déjà depuis longtemp (et je ne pense d’ailleurs pas que ce livre interesse grand monde à part une petite centaine de personnes)
l’avantage ?
tout simplement que chacun va pouvoir a partir de ce matériau discuter, argumenter, contredire (très souvent), bref discuter FAC-TU-ELLE-MENT…
plus j’avance dans ce livre, et plus c’est bourré de poncifs, d’allusions incompréhensibles sur le thème « l’argent c’est mal »…bref, si j’ai le temps avec mister riss, on essayera de passer ce livre au peigne fin pour en extraire quelques justes phrases, c’est à dire l’équivalent d’une demi-page a vu d’oeil, sur les presque 300 du livre…
plus j’avance dans ce livre, et plus c’est bourré de poncifs, d’allusions incompréhensibles sur le thème « l’argent c’est mal »…bref, si j’ai le temps avec mister riss, on essayera de passer ce livre au peigne fin pour en extraire quelques justes phrases, c’est à dire l’équivalent d’une demi-page a vu d’oeil, sur les presque 300 du livre…
Je ne voudrais pas faire (trop) de mauvais esprit, mais j’ai énormément aimé l’établissement dont il est question page 136 du livre… Comme dirait un ami bien connu de nos services, « Connaissez-vous le restaurant Reich? »
Je ne voudrais pas faire (trop) de mauvais esprit, mais j’ai énormément aimé l’établissement dont il est question page 136 du livre… Comme dirait un ami bien connu de nos services, « Connaissez-vous le restaurant Reich? »
Comme chantait la fille qui a un nom de match de rugby : Ça balance pas mal à Paris ! « Patron ! Un Berger blanc ! »
Comme chantait la fille qui a un nom de match de rugby : Ça balance pas mal à Paris ! « Patron ! Un Berger blanc ! »