Les amis, voici de quoi élargir nos horizons culinaires. Oui-oui, c’est bien un ustensile de cuisine, sur la jolie image ci-dessous. Le premier qui trouve à quoi ça sert gagne la recette qui va avec ce bidule, et une rigolote petite histoire en prime. Le département « Détente & Culture » de Cuit-Cuit est mobilisé comme vous n’avez pas idée, si des fois vous aviez des questions à lui soumettre. Bon lundiz, les amiz.
le cuit-quiz du lundiz
Posté par Sébastien | belles images, cuisines populaires, recettes lundi janv. 17, 2011attention, c’est chaud
Posté par Sébastien | cuisines populaires, gazouillis, humeurs vendredi janv. 14, 2011Les 18 lecteurs de Cuit-Cuit en frémissent d’impatience. Car Frédéric Lefebvre devrait logiquement, dans le courant de la semaine prochaine, faire de nouvelles annonces à propos de la Fête de la cuisine de la Gastronomie Française (maintenant, je vais mettre des majuscules partout, c’est nettement plus chic).
Je ne vous cache pas que cette information suscite chez moi un intérêt certain.
On en reparle? (Oui, ça me semble une bonne idée.)
je prendrai les lentilles, siouplaît
Posté par Sébastien | gazouillis, on sort? mercredi janv. 12, 2011Dring dring, « Oui salut, c’est Guillaume Delage, bon, je t’en parle mais ça ouvrira pas avant avril facile, ce sera à l’angle de la rue de Bièvre et du boulevard Saint-Germain, ça va s’appeler ‘Aux Verres de contact’, c’est Sarah qui sera en cuisine et ça va vraiment tourner autour du vin », tûût, tûût, tûût, il a raccroché.
de passage au Passage
Posté par Sébastien | belles images, gazouillis, on sort? mercredi janv. 12, 2011Œuf poché, bouillon de poule, poutargue et cresson, Le Passage (Paris), 14 décembre 2010, 13h31.
adeline fait rimer Asie et Rossini
Posté par Sébastien | belles images, humeurs, on sort? lundi janv. 10, 2011Je suis bien embêté. Parce qu’on est le 10 janvier et que le coup du « meilleur plat de l’année », là, déjà, si tôt, c’est quand même limite. Mais je vais quand même me lancer. Et quand on se retrouvera aux alentours du 28 décembre, pour faire l’inévitable bilan des plus grands moments de table de 2011, je peux vous garantir que le bol juste en dessous de ces lignes sera dans les trois premiers.
Voici donc une recette signée Adeline Grattard, qu’on n’a presque plus besoin de présenter (sinon, on gougueulise restaurant/Yam’Tcha/Paris, et on a plein d’infos). Comment ça s’appelle? Oh, vous savez comment ça marche, là-bas: on vous énonce quelques ingrédients, et débrouillez-vous avec ça. Moi, ça me va bien. Un plat doit garder un peu de mystère. Donc « paleron grillé, foie gras de canard de Vendée, bouillon de coriandre » — tout est dit, rien n’est dit.
Le bouillon, d’abord: absolument, profondément, totalement asiatique, à la fois limpide et concentré (il n’y manque ni crevettes séchées, ni parures de bœuf, il y a sûrement du gingembre, de l’ail et du piment, et tout ça a dû réduire pendant des heures). La viande: saignante de chez saignante, fortement grillée sur l’extérieur — je ne sais pas si elle est saisie au wok avant d’être découpée, mais ça se pourrait bien. Le foie gras: bombé, joufflu, encore rosé à cœur, à la fois ferme et fondant, simplement agacé de fleur de sel et de ciboule. Et en dessous de tout ça, j’allais les oublier, noyés dans les bas-fonds du bouillon, l’élément de texture, de croque: une flopée de champignons enoki, d’un calibre inconnu de nos services — on était à deux doigts du vermicelle de riz, si vous voulez.
Paleron-bouillon-foie gras: le but est évidemment d’avoir un peu des trois dans chaque cuillerée. L’effet, si vous me passez ce jeu de mots particulièrement piteux, est totalement bœuf (je dirais même plus, bœufissime, tant qu’à m’enfoncer). Comme si on avait transporté un Rossini en Asie pour l’assaisonner à la sauce street food.
À la fin du repas, je lui ai posé la question, à Adeline, histoire de. « Ah oui, Rossini, c’est marrant, j’y avais pas pensé! » Réponse pour le moins « grattardienne », qui mériterait un post à elle seule.
Asian Rossini, Yam’Tcha (Paris), 7 janvier 2011, 14h02.
aliyah et retour en Israël
Posté par Sébastien | belles images, cuisines populaires, lu/vu/entendu ailleurs samedi janv. 8, 2011Douze minutes d’images animées glanées je ne sais plus trop comment — ou comment s’offrir un délicieux petit voyage en moins de temps qu’il ne faut pour cuire un lièvre à la royale.
Is there an Israeli cuisine? est un documentaire américain en pré-production, mais qui a déjà l’air assez finger licking good, comme on dit. A découvrir, entres autres, des biscuits capables de résister à une attaque nucléaire, l’incidence du shabbat sur les modes de cuisson, le (la?) kubbeiniya qu’on ne mange que dans le nord du pays (c’est un tartare de veau), et la preuve définitive que Marc Veyrat n’est pas seul au monde à ramasser des herbes dans la forêt.
allô, la boucherie Sanzot?
Posté par Sébastien | gazouillis, humeurs samedi janv. 8, 2011Les 17 lecteurs réguliers de Cuit-Cuit attendent toujours de pied ferme — mais avec une impatience de moins en moins facilement dissimulable — quelques nouvelles de la Fête de la gastronomie française. Bizarrement, la page du ministre concerné par ce dossier brûlant reste très elliptique?, discrète?, allusive? totalement muette sur le sujet — le communiqué officiel d’il y a quatre jours n’y est même pas repris.
Mais que fait Nicolas de Rabaudy?
du food porn pour le week-end
Posté par Sébastien | belles images, gazouillis, on sort? samedi janv. 8, 2011Corot, c’est à l’eau
Posté par Sébastien | gazouillis, on sort? jeudi janv. 6, 2011Une ch’tite info, juste en passant: Benoît Bordier, le chef des Étangs de Corot, n’est plus le chef des Étangs de Corot. Il a décidé de prendre un peu de repos.
Dès qu’il se réveille, on vous donne de ses nouvelles.
les réservations sont ouvertes
Posté par Sébastien | gazouillis, lu/vu/entendu ailleurs mardi janv. 4, 2011Je ne sais pas si c’est énorme ou pas, mais dans le cadre des événements destinés à promouvoir le classement du Repagastronomikdéfranssé par l’Unesco, Frédéric Lefebvre annonce le lancement d’une « fête de la gastronomie française ».
Le Secrétaire d’État auprès de la ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, chargé du Commerce, de l’Artisanat, des Petites et Moyennes Entreprises, du Tourisme, des Services, des Professions libérales et de la Consommation (inspirez, expirez) va, rapporte l’AFP, mettre sur pied d’ici la fin du mois un comité Théodule de pilotage qui devra « proposer un programme d’initiatives et d’événements ».
Le 23 septembre prochain, ce sera donc la première édition de ce raout qu’on espère sincèrement grand et à qui on souhaite d’être aussi pérenne qu’on nous l’annonce annuel.
En outre, indique la dépêche, cette fête voulue comme « populaire » permettra « de sensibiliser les consommateurs au choix des produits, à la diversité des terroirs, aux spécialités régionales » et « de réunir les Français autour de valeurs d’échange, de partage, de convivialité et de plaisir ».
Au fait, question à deux panais cinquante: pourquoi ne pas avoir appelé ça, tout bêtement, la « fête de la cuisine »?